Après Pharrell Williams, c’est Rihanna qui s’est retrouvé en conflit avec Donald Trump. La chanteuse et business woman l’a attaqué en justice et obtenu gain de cause : le président Américain est interdit de jouer ses musiques dans ses meetings.

Le 5 novembre dernier, Rihanna avait demandé via BMI, qui gère ses droits musicaux, à l’équipe de Donald Trump de ne plus jouer sa musique lors des meetings politiques. Après avoir appris que « Don’t Stop The Music«  était joué dans les campagnes républicaines, ne ordonnance de cessation et d’abstention avait été envoyé. La chanteuse a obtenu gain de cause : Toutes les musiques de l’artiste ont été retiré de la licence globale qui était payée pour pouvoir utiliser sa musique.

Ce n’est pas la première fois que l’interprète de « Work » s’oppose à Trump. La Barbadienne avait participé à la Marche des Femmes qui avaient lieu à New-York dès le lendemain de son intronisation en tant que Président. Elle n’avait pas hésité également à se faire entendre après le passage de l’ordonnance qui interdisait de territoire Américain les ressortissants de plusieurs pays comme l’Iran, l’Irak ou la Somalie. Quelques jours avant elle, Pharrell Williams avait lui aussi demandé au président Américain de ne plus jouer ses titres lors de ses campagnes.