INTERVIEW sans filtre DE MORTALLA
Pour la sortie de son EP « Calibré »
Journaliste (Laëtitia) : Comment vas-tu ?
Mortalla : Je vais bien, merci.
Tu pourrais te présenter pour les personnes qui ne te connaissent pas ?
Moi, c’est Mortalla, jeune artiste originaire du 95, j’ai sorti mon EP Calibré le 1er Mars.
Tu te sens comment depuis la sortie de cet EP ?
Franchement, ça va. Je suis content des retours. On a réussi à transmettre ce qu’on voulait décrire aux gens à travers mon image et à travers ma musique donc franchement ça va. J’ai eu des bon retours et puis on est contents.
Ah bah c’est cool et tout si pour toi ça fonctionne. Les premiers pas dans la musique ça s’est fait comment? Et est-ce que tu t’es inspiré d’anciens pour faire ton nouvel album?
En soi, j’ai toujours été dans l’ère de la musique, on va dire. J’ai toujours écouté beaucoup de musique, etc. Après, là, j’ai écouté ce que le monde écoutait étant petit (…) Et puis, après, voilà. Par la suite, on a fait du son et on a commencé à s’écouter nous-mêmes.
T’as fait une collaboration avec RK, ça s’est passé comment?
Avec RK, en fait, la collaboration s’est faite directement en studio. Le feeling est bien passé, tout ça, etc. On se voyait beaucoup au studio et puis, après voilà, j’ai demandé s’il était chaud pour partir sur un son, pour participer au projet, et directement il a dit ouais.
Tu as également réalisé un titre avec Mougli…
Ouais, avec Mougli, on s’était connectés d’abord sur les réseaux sociaux. Ensuite, on réagissait chacun à nos stories et après, je l’ai directement appelé et lui ai demandé s’il était intéressé par le projet. Il a aussi immédiatement adhéré et on s’est rencontrés directement au studio.
Prochainement, par exemple, est-ce qu’il y a des artistes avec qui tu aimerais bien collaborer
Ouais, il y en a plusieurs.
Comme qui par exemple?
Pour l’instant ça reste un secret.
Et dans 10 ans par exemple, tu te vois comment?
Dans 10 ans, je me vois au Stade de France, j’espère.
Ah je te le souhaite. Tu rempliras des concerts en moins de 10 minutes ça se trouve
On espère. On travaille pour en tout cas
À quel moment as-tu réalisé que la musique pour toi était devenue un métier ?
Un métier… Assez tard, mais en soi, en fait, c’est complexe parce que j’ai toujours fait de la musique. Donc, du coup, on va dire que dès mon premier son, c’est déjà un assez grand pas, c’est-à-dire qu’en fait, je n’ai pas eu le temps de capter à quel moment c’est devenu un métier, quoi.
Oui, je vois. Et t’as aussi fait la première partie de Djadja&Dinaz. C’était comment la sensation pour toi?
La sensation, ça va. Au début, t’es stressé parce que c’est ta première fois, on va dire. Tu rencontres un public et tu écoutes les sons des gens qui te suivent, etc., et puis après, au fil du temps, tu kiffes, min. Tu vois que les gens connaissent tes sons, ta musique. Après, du moment que… Ça me fait kiffer.
Interview : Laetitia W.