Il y a quelques jours, Jacquees était contraint de supprimer son remix de « Trip » de SoundCloud et Youtube pour des raisons de droit d’auteur. Visiblement innocente mais fortement critiquée, Ella Mai a vu son producteur DJ Mustard voler à son secours et expliquer les raisons de cette décision.

Voila une histoire qui secoue internet du côté des Etats-Unis. Début août, Ella Mai dévoilait son nouveau single « Trip«  qui figurera dans son premier album le 12 octobre prochain. Quelques semaines plus tard, Jacquees nous en offrait le remix en vu de la sortie de sa prochaine mixtape Quemix 3. Très bien accueilli par les fans de Jacquees et de R&B en général, il en avait même sorti le clip dans la foulée sur Youtube. Seulement voila, du côté de 10 Summers, le label d’Ella Mai, cela est très mal passé. Même si le crooner de Cash Money l’a démenti sur Twitter, la potentiel intention de générer de l’argent sur un titre sans droit d’auteur est inacceptable.

Le CEO Mustard aurait donc demandé a ce que le morceau disparaisse de toutes les plateformes où il a été posté. Pour la critique, ce choix est le résultat d’un avis de faiblesse tant le remix était vu pour beaucoup comme meilleur que l’original. Pour d’autres, cela était même le début d’un bad buzz pour la jeune artiste. Très critiquée depuis cette prise de décision, cela tombe mal niveau timing pour celle qui est en pleine promotion de son premier album. Raison pour laquelle, son producteur a volé à son secours en adressant un communiqué venant mettre fin à toutes spéculation.

«Nos artistes n’envoient pas de cessez-le-feu, nous le faison. Lorsque vous monétisez du contenu que vous ne possédez pas, vous volez et personne ne vole 10 Summers. Ella n’a pas son mot à dire et toute plate-forme présentant des rapports différents diffuse des mensonges. Il s’agit simplement d’un plan de presse ou de marketing, ou d’une stratégie visant à s’écarter du récit selon lequel Ella bat des records à gauche et à droite, car sa musique va directement aux fans à un niveau jamais vu depuis des années», peut-on lire sur Twitter.

 

 

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