Le 7 juin 2018 s’est déroulé le premier concert Parisien de Dinos à La Boule Noire (Pigalle) depuis la sortie de son album, Imany.
La date étant prévue avant la sortie de l’album, Dinos s’est amusé avec son public en s’exprimant sur un ton humoristique  » l’album aurait été tubas que vous seriez tout de même venus ! » Une ambiance chaleureuse dans un lieu particulièrement intimiste y régnait. L’auteur d’Imany s’est exprimé à plusieurs reprises, en échangeant quelques
mots avec certains de ses fans, eux-mêmes demandeurs des anciennes tracks, telles que Namek, Pawg…

Force est de constater un public aimant et déchaîné (c’est la raison pour laquelle je suis restée en fond de salle, trop de TurnUp dans un lieu si petit peut être dangereux pour la santé). Evidemment, Dinos a partagé de nombreux morceaux de son nouvel opus, et des anciens, basculant des sonorités tropicales (Havana & Malibu), au grand pogo ambiancé par le son Namek, en finissant par calmer son public avec le fameux Helsinki, faisant constat de l’état de l’Homme après une rupture douloureuse.

Helsinki

Les pleurs du mal

Par ses différents textes, Dinos décortique avec précision les différents états et humeurs par lesquels chacun d’entre nous serait en mesure de s’identifier.
Ses écrits font donc de lui un homme humble, assumant ses colères, ses joies, ses pleurs, toutes ces émotions misent à nue devant un public réceptif.

Pour ceux ayant loupé le concert à La Boule Noire, don’t panic, vous pouvez retrouver le poète sur instrus de bangers le 03 décembre 2018 à la Cigale (Paris 18ème).

 

 

Sarah Z